LA MISE AU POINT
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Lors de mes précédents articles, je vous ai parlé des bases de la photographie à travers le triangle d’exposition, la mesure de lumière et la composition. Mais, je n’ai pas encore fait d’article sur une des choses primordiales en photographie, la mise au point. Ce n’est désormais plus le cas avec ce nouvel article que je vous propose.
La mise au point (MAP) est l’opération qui consiste à régler la netteté sur le sujet que l’on photographie. Chaque fois que vous appuyez à mi-course sur le déclencheur, vous la réalisez automatiquement grâce à l’autofocus de votre appareil. Mais connaissez-vous vraiment son fonctionnement ?
Dans ce nouvel article, nous ferons le point sur les différents types de mise au point, le fonctionnement de l’autofocus et ses différents modes. De sorte qu’à la fin de cet article, la mise au point n’aura plus aucun secret pour vous.
Différents types de mise au point
1. La mise au point manuelle (MF)
Comme son nom l’indique, cette MAP se fait manuellement. Pour ce faire, il suffit de passer en mise au point manuelle soit sur votre objectif soit directement depuis votre boitier photo. Ensuite, vous devrez agir sur la bague de mise au point qui se trouve sur votre objectif. En faisant tourner cette dernière de gauche à droite, vous pourrez déterminer la netteté de votre sujet. Quand vous tournez cette bague, les lentilles qui se trouvent à l’intérieur de votre objectif se déplacent et se positionnent à la bonne distance de votre capteur afin que votre sujet soit net.
Comme vous avez pu le voir, cette méthode de mise au point n’est pas compliquée. C’est pour cela que je ne m’y attarderai pas davantage.
Il est à noter que certains appareils photo sont dotés d’une fonction qui facilite la MAP manuelle. C’est la fonction focus peaking. Cette dernière fait apparaitre de petits points sur l’endroit qui est net.
2. La mise au point automatique (AF, Autofocus)
L’autofocus est la fonction qui permet à appareil photo de réaliser la mise au point de façon automatique. Dis comme ça, cela parait simple, mais sur le terrain il arrive souvent que ce ne soit pas aussi simple que ça. C’est pour cela que je vais vous détailler plus précisément cette méthode de mise au point.
Fonctionnement de la mise au point automatique
Comment l’appareil photo arrive à connaitre la distance du sujet
Il existe deux méthodes complètement différentes qui permettent à votre boitier de faire une mise au point automatique :
1. La mise au point active
Cette méthode était très utilisée sur les appareils photo compacts argentiques, les caméras analogiques ou lorsque l’on utilise un flash avec l’option « assistance AF infrarouge ou IR ». Cette méthode fonctionne grâce à un rayon infrarouge ou à des ultra-sons émis en direction du sujet. Ensuite l’appareil mesure le temps que les signaux mettent à lui revenir, ce qui lui permet de déterminer la distance qui le sépare du sujet. Bien que la méthode active soit capable de faire une mise au point même dans l’obscurité la plus totale, elle est de nos jours peu utilisée. En effet, cette méthode a ses limites lorsque le sujet se trouve loin. Les ultra-sons ou l’infrarouge des boitiers ne sont pas capables de détecter un sujet à plus d’une dizaine de mètres. De plus, ils ne sont pas non plus capables de faire une mise au point à travers une surface telle que le verre.
2. La mise au point passive
C’est la méthode de mise au point la plus utilisée de nos jours. C’est d’ailleurs celle qui équipe les appareils actuels. Suivant la gamme de votre boitier, il existe deux méthodes passives différentes.
- La mise au point par détection de contraste
La mise au point par détection de contraste est la technique qu’utilisent les boitiers compact ou bridge ainsi que les anciens appareils reflex. C’est aussi celle qu’utilise votre boitier en mode liveview. Cette dernière se base sur la lumière réfléchie. Elle est basée sur le principe qu’une image nette est une image nécessairement plus contrastée. Votre objectif balaiera donc l’image en bougeant ses optiques afin d’obtenir une image la plus contrastée possible.
Cette technique est très précise et permet de faire une MAP même lorsque la lumière est assez faible, tant que ce n’est pas sur une surface unie comme un mur blanc par exemple.
- La mise au point par détection de phase
La mise au point par détection de phase aussi appelée mise au point par contraste de phase. Elle se base, comme la détection de contraste, sur la lumière réfléchie. Mais en plus de celle-ci, la mise au point par détection de phase utilise la bonne vieille méthode du télémètre qui consiste à diviser l’image en deux, permettant d’évaluer la distance du sujet. Cette méthode n’est pas simple à décrire mais si vous avez l’âme d’un geek, je vous conseille cet article d’Egard Bonet. Il est très bien détaillé et répondra à toutes vos questions sur l’autofocus par détection de phase : http://www.edgar-bonet.org/physique/af/
Cette méthode a l’avantage d’être performante tout en étant rapide. Mais ses performances baissent lorsque la lumière baisse.
Que se passe-t-il une fois le sujet détecté ?
Quelle que soit la méthode employée par votre boitier pour faire la mise au point, une fois la distance au sujet détectée, il envoie l’information à votre focale. Cela met en mouvement le groupe de lentilles de votre objectif afin qu’elles se placent correctement pour que votre photo soit nette. Suivant la qualité de votre boitier, MAP sera plus ou moins précise, réactive et silencieuse.
Les collimateurs
Même si vous n’avez jamais entendu ce terme, vous les avez forcément vus, quand votre œil est collé au viseur. Ce sont les petits carrés et rectangles, de couleur rouge, qui apparaissent au moment où vous appuyez à mi-course sur votre déclencheur et que la mise au point s’est faite correctement.
Ils sont très importants car ce sont eux qui déterminent la qualité de la mise au point. Ils permettent aussi de choisir un sujet plutôt qu’un autre dans votre scène.
Le nombre de collimateurs et leur position
Suivant les gammes, les appareils photo ne sont pas tous égaux en termes de collimateur de mise au point. Plus vous monterez en gamme et plus votre boitier aura de collimateurs. Ce nombre est important et il doit être pris en compte lors de l’achat de votre appareil. C’est lui qui détermine les possibilités qu’offre votre autofocus.
Prenons l’exemple de deux boitiers de chez Nikon à l’opposé l’un de l’autre :
- Le premier est un Nikon D3200. Celui-ci est un boitier reflex d’entrée de gamme. Il ne comporte que 11 points d’AF.
2. Le second est un Nikon 850, la Rolls Roys des reflex de cette marque. Il dispose de 153 collimateurs AF.
Comme vous pouvez le voir, la différence du nombre de collimateurs entre ces deux boitiers, pourtant de même marque, est énorme. Plus vous aurez de collimateurs de mise au point, plus vous aurez de chance d’accrocher votre sujet. En effet, il sera plus simple de faire MAP sur un sujet qui se trouve dans l’angle avec un boitier ayant un plus grand nombre de collimateurs, mieux répartis sur l’ensemble de la zone à photographier, qu’avec un boitier d’entrée de gamme avec peu de collimateurs regroupés au centre.
Les différents types de collimateurs de mise au point
Trois différents types de collimateurs sont disponibles à l’intérieur de nos boitiers.
- Les collimateurs simples
Ils sont représentés par des rectangles, soit horizontaux, soit verticaux. Les horizontaux auront pour vocation d’accrocher davantage un sujet horizontal, tandis que les verticaux sont davantage dédiés aux sujets verticaux. Ces collimateurs sont les plus simples à produire et ils sont donc les moins performants.
- Les collimateurs en croix
Ces collimateurs sont un amalgame des collimateurs verticaux et horizontaux. Ils sont bien meilleurs que les simples car ils permettent d’accrocher un sujet, qu’il soit à l’horizontale ou à la verticale. En revanche, ces derniers sont plus chers à produire. C’est pour cela que les boitiers d’entrée de gamme n’en comportent qu’un, au centre. Les appareils de moyenne gamme n’en auront que quelques-uns alors que les boitiers pros et experts en comptent bien plus de 15.
- Les collimateurs en étoiles
Ces derniers sont les plus performants des collimateurs. Ils sont un combo de deux collimateurs en croix. Vous ne trouverez ces derniers que sur les boitiers pros ou experts.
Comme nous venons de le voir, le nombre et le type de collimateurs sont différents en fonction de la gamme de votre boitier. Sur un boitier de basse gamme, vous n’aurez qu’un collimateur en croix et aucun en étoile. De plus, ils seront moins bien répartis, ce qui ne vous permettra pas de faire la mise au point sur la totalité de la zone à photographier. Plus vous monterez en gamme, plus les collimateurs seront performants et mieux répartis.
Suivant la gamme de votre boitier, il est possible de grouper les collimateurs afin de simplifier l’accroche d’un sujet, qu’il soit de petite taille ou en mouvement.
Il est à noter que quelque que soit la gamme de votre appareil photo, le collimateur central restera toujours le meilleur.
Autres facteurs qui influencent la mise au point automatique
1. La lumière
Comme indiqué précédemment, les boitiers récents sont équipés d’une mise au point par détection de phase, ce qui les rend peu compétents en basse lumière. Mais attention, tous les appareils photo ne sont pas égaux. Un boitier haut de gamme, ayant des collimateurs en croix ou en étoiles aura moins de difficulté à faire le point en basse lumière (heure bleue, intérieur mal éclairé, …) qu’un appareil d’entrée de gamme n’ayant pas ou qu’un collimateur en croix.
L’accroche de l’AF dépend aussi de la luminosité et du contraste de la scène que vous souhaitez photographier. Vous avez déjà dû vous apercevoir que lorsque que vous essayez de faire une MAP sur un ciel complètement bleu ou un mur blanc, votre autofocus patine. « Il n’arrive pas à faire la mise au point ». Cependant, si un infime détail se décroche de celui-ci, vous n’aurez aucun problème à réaliser l’AF.
2. L’ouverture du diaphragme de l’objectif
Comme nous l’avons vu juste au-dessus, la lumière influence la mise au point. C’est pourquoi plus vous aurez une focale qui ouvre grand, plus il vous sera facile de faire votre mise au point à pleine ouverture.
3. La distance de mise au point
La distance de MAP est l’un des critères à prendre en compte lors de l’achat d’un objectif.
Prenons l’exemple de trois focales différentes :
- La première : AF-S NIKKOR 70-200mm f/2.8E FL ED VR. À une distance de mise au point minimale de 1,1m (ce qui signifie que si votre sujet se trouve à moins de 1,1 m, il sera flou), votre autofocus patinera et il vous sera impossible d’accrocher votre sujet.
- La seconde : une focale AF-S VR Micro Nikkor 105mm f/2.8G IF-ED. C’est un objectif macro, qui a une distance de mise au point de 31 cm. Les objectifs macro sont prévus pour faire une mise au point courte.
- La troisième : le Tamron SP 15-30 mm f/2,8 Di VC USD (oui, je change de marque sinon vous allez croire que je suis pro Nikon). Cet objectif à 15 mm est un ultra grand-angle. Sa distance de mise au point n’est que de 30 cm sur toute son amplitude focale. Cela permet de faire l’AF de très près.
Avez-vous remarqué que plus la focale est courte, plus la distance de mise au point est proche ?
Si vous n’arrivez pas à faire MAP, c’est sans doute que votre sujet est trop sombre ou pas assez contrasté ou encore que vous êtes trop prêt de votre sujet, placé de fait en-dessous de la limite de distance de l’autofocus.
Les différents modes de mise au point
Les appareils photo offrent trois modes d’autofocus différents. À vous de choisir celui qui vous convient en fonction de la scène que vous photographiez.
1. Le mode ponctuel (AF-S chez Nikon) ou (One Shot chez Canon)
Ce mode de mise au point est le plus simple à utiliser. C’est d’ailleurs celui que votre appareil utilise par défaut. Quand vous appuyez à mi-course sur le déclencheur, l’appareil fait MAP : les collimateurs d’AF où la mise au point a été effectuée s’affichent en rouge et, si vous n’avez pas désactivé le son de votre boitier, un bip se fait entendre. Quand la mise au point vous convient, il ne vous reste plus qu’à déclencher.
Ce mode d’autofocus est parfait pour les sujets immobiles, les photos de paysage, les portraits…
2. Le mode continu (AF-C chez Nikon) ou (AI Servo chez Canon)
Tout comme dans le mode précédent, quand vous appuyez à mi-course sur le déclencheur, l’appareil effectue la mise au point sur votre sujet. La différence avec le mode précédent, c’est que la mise au point ici n’est pas figée. Le boitier photo adapte en continu la mise au point, même lorsque que le sujet est en déplacement.
Ce mode est à choisir dans les situations où votre sujet est en mouvement : photo sportive, animalière, enfant qui court, …
3. Le mode automatique (AF-A chez Nikon) ou AI Focus chez Canon)
Dans ce mode de mise au point, l’appareil va détecter tout seul si le sujet est fixe ou en mouvement. Il adaptera ensuite l’autofocus en fonction de la situation en choisissant soit le mode continu, si le sujet bouge, soit le mode ponctuel, s’il est fixe.
Je n’utilise jamais ce mode car je le trouve lent. Si votre sujet se met à bouger après avoir été fixe, l’autofocus aura un moment de latence avant de faire de nouveau correctement la MAP sur le sujet. Je préfère donc choisir directement entre les deux autres modes, en fonction de la situation dans laquelle je me trouve.
Définir la zone de mise au point
En fonction des différents modes d’AF que vous choisirez, il est possible de définir la zone d’autofocus en fonction de la scène que vous photographiez.
1. L’AF sur un point sélectif
L’AF sélectif permet de n’avoir qu’un seul collimateur. Il est possible de le déplacer là où le sujet se trouve. En fonction de votre boitier, le déplacement se fera à l’aide de la molette, des flèches de sélection ou encore du joystick.
Cette méthode de MAP permet d’avoir d’excellents résultats, surtout si vous avez une grande maitrise en photo ou que votre sujet ne se déplace pas, comme lors de prises de vue de paysage ou de portrait fixe.
2. L’AF zone dynamique
Avec cette méthode d’autofocus, vous ne choisissez pas un collimateur mais un groupe de collimateur. Cela permet de faire la mise au point même si le sujet bouge légèrement.
3. L’AF suivi ou 3D
Ce mode n’est pas disponible sur tous les boitiers. Celui-ci n’est pas fixe et permet de photographier des sujets en mouvement. Il est pratique quand on souhaite photographier un sujet qui se déplace (un oiseau dans le ciel, une personne en mouvement, une voiture, …).
4. L’AF zone automatique
Bien que ce soit le mode par défaut de votre appareil, je vous déconseille de l’utiliser ! Avec ce dernier, le boitier détermine seul l’endroit où la mise au point doit être faite. Pour effectuer celle-ci, il prendra en compte la plupart du temps un sujet lumineux ou proche, ce qui risque de ne pas correspondre à vos attentes.
À noter : certains boitiers disposent d’un AF qui détecte et suit automatiquement les visages voire même les yeux, ce qui permet de faire plus facilement des MAP ultra précises.
Comment bien choisir le mode de mise au point ?
Avant de commencer votre shooting, vous devez vous poser deux questions :
1. Est-ce que mon sujet est fixe ou est ce qu’il se déplace ? En répondant à cette question, vous serez capable de choisir le mode de mise au point qui convient.
2. À quel endroit dois-je faire la mise au point ? Avec cette question, vous serez à même de définir le ou les collimateur(s) à utiliser.
Quelques astuces pour réussir sa mise au point
Manque de lumière
· Quand la lumière décline, il y a de fortes chances pour que votre autofocus n’arrive pas à accrocher le sujet qui se trouve juste devant vous. Dans ce cas précis, pensez à activer l’assistance AF de votre boitier. Une petite lampe qui se situe sur votre appareil éclairera ponctuellement le sujet afin d’aider à la MAP.
· Si l’assistance AF ne suffit pas, vous pouvez éclairer le sujet avec une lampe. Faites la mise au point sur le sujet éclairé. Une fois que celle-ci est faite, passez en mise au point manuelle. Eteignez votre lampe et déclenchez. Tant que votre sujet ne bouge pas, vous n’avez plus besoin de refaire la mise au point entre chaque photo.
· Votre sujet est trop loin pour pouvoir être éclairé, pas de panique ! il vous suffit de poser une lampe à côté de ce dernier. Faites la mise au point sur la lumière, basculez ensuite en mise au point manuelle. Retournez éteindre la lampe et déclencher. Comme précédemment, si le sujet ne bouge pas, pas besoin refaire la mise au point.
Pas de collimateur à l’endroit où se trouve le sujet
Suivant la gamme de votre boitier, il se peut qu’il n’y ait pas de collimateur à l’endroit où se trouve votre sujet. En effet sur les appareils d’entrée de gamme, les collimateurs sont peu nombreux et ont tendance à être regroupés au centre. Dans ce cas, vous allez devoir utiliser la technique de la mise au point recadrée. Cette méthode est assez simple à mettre en œuvre. Mettez-vous en mode ponctuel (AF-S) ou (One Shot), choisissez le collimateur central (c’est celui qui fonctionne le mieux). Faites ensuite la MAP sur votre sujet en appuyant à mi-course sur le déclencheur. Une fois celle-ci verrouillée, gardez le doigt à mi-course et déplacez votre boitier afin d’obtenir le cadrage que vous souhaitez.
Visée directe (Liveview)
Sur les appareils équipés d’une visée depuis l’écran, il est possible de faire une mise au point ultra précise. Pour cela, il suffit de zoomer sur le sujet à l’aide du bouton zoom + qui se trouve sur votre boitier. Une fois zoomé au maximum, il ne reste plus qu’a faire la mise au point. Une fois celle-ci réalisée, le carré qui indique la zone d’autofocus passera du rouge au vert.
À noter que sur les boitiers à écran tactile, il est possible de faire la MAP directement en touchant l’écran à l’endroit où le sujet se trouve.
Mise au point sur le bouton arrière (back button focus)
Quand on appuie à mi-course sur le déclencheur, l’appareil fait deux choses : la mise au point et la mesure de lumière. Il arrive très souvent que l’on ne veuille pas mesurer la lumière à l’endroit où se trouve notre sujet. Il est donc possible de dissocier la MAP du déclencheur et de l’attribuer à un autre bouton à l’arrière du boitier. On le positionne généralement sur le bouton AF-ON car il est facilement accessible avec le pouce.
En plus de dissocier la mesure de lumière de la mise au point, le back button focus a un autre avantage. Celui de faire la MAP sur le sujet en appuyant une fois sur le bouton arrière. Une fois celle-ci faite, tant que votre sujet ne bouge pas trop, vous n’avez plus à vous en préoccuper. Cela est pratique, notamment en photographie animalière, pour éviter de se retrouver longtemps avec le doigt à mi-course sur le déclencheur.
Dans un premier temps, quand on débute en photographie, je déconseille de se servir du back button focus car c’est vraiment un coup à prendre. Si vous ne maitrisez pas totalement cette méthode de mise au point, vous risquez de souvent vous retrouver avec des photos floues.
Conclusion
Quand on débute, définir le bon mode et la bonne zone de mise au point peut sembler compliqué. Mais à force de pratique vous serez à même de reconnaitre rapidement la situation dans laquelle vous vous trouvez et ainsi choisir le mode de mise au point et la zone d’AF idéaux.
J’espère que cet article aura répondu à toutes vos questions sur la mise au point et qu’il vous permettra ainsi d’avoir des photos avec la plus grande netteté possible.
Si vous avez des questions, n’hésitez pas à me les poser en commentaire, je me ferai un plaisir d’y répondre.
Si vous avez aimé cet article, faites-le moi savoir en commentaire et partagez-le avec vos amis.
Juste une précision, la Rolls Royce des Reflex, c’est chez Canon, notre bon 1Dx mk3 🙂 #teamcanon
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